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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 19:06

Des étoiles encore plein les yeux, les jeunes Suisses champions du monde M17 s'apprêtent à négocier ces prochains mois peut-être la phase la plus délicate de leur cursus. Si trois ou quatre peuvent espérer réaliser une grande carrière, il est à craindre que la moitié d'entre eux ne s'imposera pas chez les professionnels.


A Zurich-Kloten, à la descente de l'avion qui ramenait les M17 du Nigeria, l'encadrement de la sélection n'a pas manqué de rappeler le véritable enjeu désormais: faire fructifier l'exploit, sans quoi "ce joli titre aura été inutile", comme l'a dit le directeur technique Hansruedi Hasler, l'architecte des nouvelles structures de formation à l'ASF.

D'expérience (il prendra sa retraite à la fin de l'année), M. Hasler sait qu'il faut garder les pieds sur terre: "Ce titre sera vraiment valable si trois ou quatre joueurs de la sélection deviennent titulaires en équipe A ces prochaines années", juge-t-il. Plus généralement, pour atteindre pleinement l'objectif, il faudrait qu'une douzaine des 21 sélectionnés M17 parviennent un jour à vivre du football pendant quelques années au moins, précise le technicien. Ce qui, statistiquement, est loin d'être garanti.


"Les prochains mois seront très importants", prévient M. Hasler. Pour percer vraiment, les joueurs devront continuer à se perfectionner, choisir le bon club et résister aux frustrations, énumère-t-il. "Il leur faudra opter pour un club ayant une philosophie favorable à l'intégration des jeunes en première équipe. Pas comme le FC Sion par exemple. A l'étranger, nous disons oui à un transfert à Arsenal, mais pas à Manchester City ou Naples, qui n'offrent pas de perspectives à ce niveau."


Source: SDA-ATS News Service

Pas tendre avec le FC Sion, M. Hasler. Mais il a tellement raison.

Promosports, Bernard Mayencourt
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